OTTAWA - Aujourd'hui marque le 30e anniversaire des événements tragiques qui ont eu lieu à l'École Polytechnique de Montréal, où 13 étudiantes et une administratrice ont été assassinées parce qu'elles étaient des femmes. Trente ans plus tard, les femmes et les filles continuent d'être ciblées de manière disproportionnée en raison de leur sexe.
« Alors que nous commémorons les victimes de cet attentat odieux, n'oublions pas que la violence sexiste demeure omniprésente », a déclaré Jo-Ann Roberts, chef intérimaire du Parti vert. « Nous devons faire plus. Nous devons aider la société à rechercher et à adopter des mesures concrètes pour éliminer toutes les formes de violence faites aux femmes et aux filles au Canada et dans le monde entier. »
« Le rapport final de l'Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées (ENFFADA) montre les taux ahurissants de violence faite aux femmes, aux filles et aux personnes issues des communautés 2SLGBTQTQIA. Nous devons nous assurer que les 231 étapes recommandées soient mises en œuvre comme prévu. »
« Pour faire face à la misogynie sous toutes ses formes, il importe d'en explorer les causes profondes et de s'attaquer aux idéologies culturelles qui favorisent l'épanouissement de ces opinions. Les différentes organisations doivent faire preuve d'une plus grande responsabilité et d'une plus grande transparence. Le Parti vert du Canada s'engage à éduquer les prochaines générations sur le consentement, le respect et l'égalité des sexes. Nous continuerons à travailler pour rendre la vie plus sûre pour toutes les femmes, toutes les filles et toutes les communautés 2SLGBTQQIA. »
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