La Semaine nationale de la santé mentale, qui a lieu cette année du 7 au 13 mai, souhaite sensibiliser toutes les Canadiennes et tous les Canadiens à l’importance de parler des problèmes de santé mentale et à mieux se renseigner.
Elizabeth May, députée de Saanich—Gulf Islands et chef du Parti vert du Canada, se réjouit d’avoir eu l’occasion d’assister cette semaine à la remise des prix des Champions de la santé mentale de l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale (ACMMSM).
« Je suis heureuse d'avoir pu célébrer ces personnes et ces organisations exceptionnelles, qui ne ménagent aucun effort pour sensibiliser la population et mobiliser les gens en ce qui a trait aux problèmes de santé mentale. Je félicite l’Alliance canadienne pour la maladie mentale et la santé mentale d’avoir organisé cet événement annuel », a dit May.
Le Parti vert du Canada souscrit à la définition de la santé de l’Organisation mondiale de la santé, à savoir qu'il s'agit d'un « état global de bien-être physique, mental et social et non pas de la simple absence de maladie ou d'infirmité. »
« Les coûts liés à la santé mentale sont extrêmement élevés », a dit May. « La vie familiale, les études et la carrière en souffrent énormément. Souvent, il faut également traiter des problèmes de dépendance et de maladie physique. Il est impératif que le gouvernement soutienne l’instauration de services adéquats en santé mentale, en particulier pour les jeunes. »
Le Parti vert du Canada préconise une approche intégrée de la santé mentale, y compris par le biais des activités suivantes :
- Augmenter les transferts aux provinces et aux territoires pour les malades mentaux non internés, y compris les enfants et les jeunes adultes, afin de créer une structure de soutien communautaire et des structures de soins hospitaliers et ambulatoires par des professionnels de la santé mentale, dans les zones rurales également, car les structures et les professionnels de santé spécialisés y font cruellement défaut;
- Soutenir une initiative de santé publique pour la réduction de la prescription de psychotropes par la création de programmes de réadaptation et de prévention de meilleure qualité, notamment pour les enfants;
- Miser sur la participation accrue des personnes atteintes de troubles mentaux à la planification de la recherche, à l’élaboration de politiques, à l'évaluation des programmes et à toutes les décisions qui affectent directement leur vie quotidienne et leur collectivité.
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Renseignements :
Debra Eindiguer
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